Hier, je suis payé un peu de luxe sur la rue Sainte-Catherine : en cahiers et crayons au Deserres, et en musique et livre au Archambault.
J’essaie de plus en plus de profiter de mes marches pour déconnecter complètement : pas de téléphone (sauf pour l’heure – je n’ai pas de données sur mon téléphone), pas de musique ou de podcast.
Je l’ai pas mentionné ici encore, mais en juin dernier, j’ai eu un diagnostic de burnout. Ça va faire quatre mois le jour de ma fête que j’ai à dealer avec la merde que c’est. Yay…
Un soir un peu pluvieux au début du mois d'août dernier, je m'en allais dans un resto-bar avec mes colocs. Sur notre chemin, nous sommes passés à côté de l’ancien local de la friperie Renaissance sur la rue Masson. On s’est arrêté pour fouiller.
C'est quoi, les pages du matin? En gros, ça consiste à écrire tout ce qui nous vient en tête sans s'arrêter, et ce, pendant trois pages, au réveil.