J'ai vu le projet d'habillage sonore d'un collègue musicien passer sur Facebook, et ça m'a rappelé que j'avais omis quelques projets dans mon portfolio musical.
Ce matin, j'ai passé plus d'une heure au téléphone avec des agents de Service Canada (long story). Après autant de musique d'attente qui griche et coupe, mes tympans réclamaient un peu de silence.
Cette semaine, quand je cherchais de la couleur par un jour gris, j'ai croisé ce garage dans une ruelle de Rosemont.
Je ne savais pas trop quoi partager ici aujourd'hui, alors j'ai fouillé dans mes archives.
En octobre, suite à ma lecture de Libérez votre créativité de Julia Cameron, j’ai décidé de refaire l’exercice des pages du matin proposé par l’auteure.
Ça vaut la peine de lâcher son téléphone et de marcher dans le silence. On remarque des choses qui nous passeraient autrement sous le nez.
Une de mes colocs a étudié en arts au cégep, et ça fait longtemps qu'elle veut se remettre à la peinture.
Un p'tit nouveau blackout poem tiré de mon (peut-être) futur zine « La crise ».
Hier, j'ai beaucoup écrit. Beaucoup comme dans « j'ai écrit deux textes de chanson ».
Une des raisons pour lesquelles je fini rarement l'écriture d'un texte de chanson, c'est parce que j'ai ben de la misère à écrire un bridge.
Hier soir, une de mes colocs et moi avons passé une partie de la soirée à essayer des affaires. Elle au dessin, moi en collage.