Maintenant que je ne suis plus sur les réseaux sociaux pour un méchant bout, je me suis dit que j’allais recommencer à partager mes trouvailles et mes coups de cœur culturels ici. Ça me manque d’écrire, alors aussi bien joindre les deux!
Alors, on commence!
Le 1er juin en début de soirée, j’ai regardé le nouveau spécial de Bo Burnham sur Netflix, Inside. Je suis déjà fan de son travail en partant, alors j’étais convaincue que j’allais aimer.
MAIS PAS À CE POINT-LÀ! Je repense à plusieurs moments depuis. Autant le fond que la forme. Et le fait que c’est lui qui a tout fait?! FOU.
Honnêtement, j’aimerais en faire une critique ou un résumé plus poussé, mais les mots me manquent. C’est *chef kiss*! Je vais définitivement le regarder plusieurs autres fois, pour voir tous les détails que j’ai très fort probablement manqués pendant mon premier visionnement.
Le spécial est publicisé comme étant une comédie, mais… Oui, c’est super drôle, mais c’est aussi super sombre. Beaucoup de critiques sociales, de parodies (la chanson White Woman on Instagram est un de mes passages préféré – pas tant pour la chanson que les costumes et les décors. C’est parfait!), ça parle de santé mentale sans détour (dont de suicide).
Bref, on passe par plein d’émotions, et parfois on ne sait jamais quelle est la prochaine qu’il nous fera vivre. Je vous cacherai pas que j’ai pogné le motton pendant le segment où il a désormais 30 ans. J’en dis pas plus.
Quand ça s’est terminé, j’avais (et ai toujours!) le goût de pousser plus dans la vidéo pour mettre ma musique en image. Bo Burnham a commencé sa carrière sur YouTube, alors ce spécial c’est un peu ce qu’il faisait au tout début, mais sur les stéroïdes de par le temps et le budget derrière le projet. Faut commencer à petite échelle!
Trailer
Bon, pour comprendre le trailer, faut avoir vu son spécial précédent, Make Happy. Et tant qu’à y être, faites-vous un binge watching en ordre. En commençant par What., Make Happy, puis Inside. Son tout premier, Words Words Words, n’est pas disponible sur Netflix. Je ne l’ai pas vu, mais j’aimerais y remédier!